Présentation en quelques mots
Je m’appelle Julien, je suis entrepreneur et « motivologue » depuis 2015. J’ai fondé Ecodream avec pour mission d’accompagner les individus, entrepreneurs et porteurs de projets à s’aligner sur leurs valeurs, leur motivation et leurs rêves. J’ai également suivi la formation “Dragon Dreaming”, une approche qui s’inspire des cycles du vivant et divise la création de projets en différentes phases.
Je suis convaincu que lorsque chacun suit ses rêves et les réalise, ça contribue à rendre ce Monde plus désirable et vivable. J’accompagne également des équipes et des projets collectifs dans leur évolution et leur collaboration.
Le sujet de la motivation au coeur de mon parcours
Pour moi, la motivation est avant tout une exploration expérimentale. C’est cette énergie qui m’anime et me pousse à agir, à me diriger vers ce qui fait sens pour moi. Elle est liée à l’enthousiasme, ce sentiment profond qui naît de l’intérieur, me guidant vers mes objectifs.
L’absence de motivation, en revanche, c’est comme une voiture sans carburant : quand on descend une pente, elle roule sans problème. Mais dès qu’il y a une montée, ça devient très difficile. On peut toujours pousser une voiture, mais c’est moins fluide, moins léger, moins joyeux.
Avant ma reconversion il y a 8 ans, j’étais ingénieur en biologie. Ma passion, mon fil rouge, c’est le vivant. Mais depuis plus de 10 ans, je transmets la méthode du « Dragon Dreaming ». Celle-ci est divisée en quatre phases :
La première phase est celle des rêves : c’est là que l’on se connecte à ce qui nous fait vibrer, à ce qui nous porte. Cette phase déclenche le processus, comme si l’on mettait le contact d’un moteur. La deuxième phase est la planification : il s’agit de structurer l’idée, de trouver le chemin entre le rêve et la réalité. Puis vient l’action, où il faut faire face aux défis et s’adapter aux imprévus. Enfin, la dernière phase est la célébration : c’est l’occasion de revenir sur soi, d’observer ce qu’on a appris et comment cela nous a transformé.
Cette méthode m’accompagne depuis ma reconversion et guide mon parcours. C’est avec cette motivation que je transforme des idées en projets, en m’appuyant sur l’expérimentation, le rêve et l’adaptation, pour réaliser ce qui me fait sens.
Ce que j’ai appris en cours de route
L’importance de l’introspection, du ralentissement et de la remise en question pour évoluer et nourrir mes projets.
Ce que j’ai aussi compris, c’est l’équilibre entre l’élan personnel et le projet qui nous porte. Il y a des moments où l’on se sent poussé par un projet, et d’autres où l’on porte ce projet à bout de bras, sans être pleinement aligné avec lui. C’est dans ces moments-là qu’il faut savoir prendre du recul et s’interroger. La notion de « flow », cet état où l’on est porté par l’énergie du projet, m’a beaucoup guidé. Quand je ne me sens pas dans ce flow, je prends un moment pour réfléchir et revenir à ce qui me motive réellement.
L’une des plus grandes leçons que j’ai tirées de mes échecs et réussites, c’est d’accepter que la motivation fluctue. Il est normal de ne pas être toujours à 100%. Et il est essentiel de reconnaître quand le cœur n’y est plus. Au lieu de forcer, il faut savoir célébrer ce moment de pause, prendre le temps de se ressourcer, voire même de se réinventer. J’ai vécu ce moment de perte de motivation l’année dernière, après plusieurs années d’activité stable mais de moins en moins inspirante. J’ai pris une pause, j’ai fait un bilan de compétences et j’ai cherché à redonner du sens à mon travail. Ce processus m’a permis de me recentrer sur ma vision et mes aspirations profondes, et de retrouver la motivation nécessaire pour continuer.
Les clés pour cultiver sa motivation
Pour trouver sa voie et avancer avec confiance, il est essentiel de prendre le temps d’évaluer sa motivation et son énergie. Je commence par me demander où j’en suis, en me posant la question : « Quel est mon niveau de motivation par rapport à ce projet, entre 0 et 10 ? ». Cela m’aide à prendre conscience de là où je me situe. Si je suis à 6 sur 10, par exemple, cela signifie que ma motivation est présente. Mais il me reste à la nourrir pour qu’elle devienne plus forte.
Je réfléchis aussi à ma confiance dans la réussite de ce projet. En me posant la même question : « À quel niveau est ma confiance ? ». La confiance en soi, comme la motivation, fluctue. Il faut aussi accepter les périodes où l’énergie est plus basse et ajuster mes attentes en fonction de cela. Si mon énergie est à 50%, il est réaliste de prendre moins de projets pour ne pas me surcharger.
Un autre aspect clé est de prêter attention aux synchronicités, ces événements qui semblent fortuits mais qui ont un sens. Cela donne de la cohérence à mes actions et me pousse à avancer, car je sens que ce que je fais a un sens plus profond.
Enfin, les personnes qui croisent mon chemin jouent un rôle important. Elles peuvent m’apporter des conseils, des avis ou même me mettre en garde contre des risques, comme le ferait un « dragon ». Leur présence m’aide à prendre des décisions réfléchies et à ajuster mon parcours. C’est en étant attentif à ma motivation, mon énergie, les synchronicités et les rencontres que je trouve les clés pour avancer avec confiance et rester aligné avec mes valeurs.
Un dernier mot à ajouter
J’ai vu une citation de Kahlil Gibran, dans le livre “Le Prophète” : “Le travail et l’Amour rendu visible”. Et cela fait écho à l’essence du rêve du Dragon, qui se résume en trois mots : l’amour inconditionnel en action. Et c’est peut-être ce qu’il y a de plus fondamental : réussir à mettre en action ce qui part de l’élan du cœur.
Pour retrouver Julien :
Son site internet
